Résilience au stress cellulaire, longévité neuronale et dynamique de la maladie de Huntington (lettre du Conseil scientifique – juin 2016)

Tous les organismes vivants possèdent des mécanismes de réponse aux différentes formes de stress cellulaire qui sont d’origine physiologique ou environnementale. Ces mécanismes sont actifs dans tous les types de cellules et de tissus, y compris dans le cerveau et les cellules nerveuses. S’il est vrai que ces mécanismes sont altérés dans la maladie de Huntington, avec des cellules nerveuses qui seraient d’entrée de jeu hypersensibles au stress cellulaire, nous devons chercher à comprendre les mécanismes impliqués dans le détail. Ainsi, une meilleure connaissance permettrait d’envisager sur le long terme des approches thérapeutiques permettant de restaurer les mécanismes « naturels » de protection des cellules nerveuses qui sont perdus ou amoindris dans la maladie de Huntington.

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